La la première pulsation
Dans un seul cabinet basé en périphérie de embrun, une acupunctrice pratiquait son art depuis plus de dix ans dans une discrétion absolue. Les murs en but régulier, l’odeur d’huiles prédominantes et le vacarme constant formaient l’écrin idéal pour tous les séances journaliers. Jusqu’au clarté où, en plantant une aiguille au coeur